Maladie d’Alzheimer et robots compagnons : plus les robots sont humains, moins les patientes s’y attachent !

Résolution d’un paradoxe.

Une nouvelle étude brillamment menée par le Professeur Shadoko, assisté de Jérôme Pellissier, au sein de son laboratoire de patapsychologie neuro-nucléaire.

Résumé :

Les concepteurs de robots compagnons partent tous d’un même principe (Beulott, 2014) : si l’on souhaite que les patientes (et plus particulièrement ici les patientes âgées atteintes de maladie d’Alzheimer) communiquent avec ces robots et s’y attachent, il est nécessaire que ces robots soient les plus humains possible dans leur manière de communiquer.

Le robot Erica. (Erica signifie "bruyère" en latin, ce qui n'a strictement rien à voir ici).

L’étude que nous avons menée interroge ce principe et teste l’hypothèse opposée : plus le robot compagnon communique avec les patientes comme un humain banal, moins les patientes communiquent avec lui et moins elles s’y attachent. (Markms, 2015)

Tous les détails dans le pdf ci-dessous :

J. Pellissier – 2019.

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