“A quel âge est-on vieux ?” “A quel âge devient-on vieux ?”
Deuxième partie de l’article consacré à ” l’âge de la vieillesse”.
Première partie de l’article ICI.
Retraite et vieillesse
S’il fut un temps où il était relativement pertinent d’associer l’arrêt de l’activité professionnelle avec une forme d’entrée dans la vieillesse, cela n’a plus de sens pour la majorité de nos contemporains. D’autant moins de sens que, ces dernières années, à mesure que l’espérance de vie augmente, « l’espérance de vie en emploi » diminue… Il est ainsi de plus en plus fréquent de voir des personnes dont l’activité professionnelle cesse autour de 55 ans, ouvrant une période de « retraite » pouvant durer plus de trente ans, plus longue souvent que la période d’activité.
Les liens entre âge de la retraite et vieillesse, nous l’avons évoqué, sont néanmoins complexes dès lors qu’on affine le regard et qu’on cesse de penser par généralités. Certains métiers, en effet, provoquent des vieillissements physiologiques précoces, certains métiers à tâches répétitives usent les facultés mentales qu’ils ne permettent pas d’employer. Bref, attention : tenir compte de l’augmentation de l’espérance de vie en bonne santé pour modifier l’âge de la retraite, sans doute, mais le faire sans tenir compte de la réalité des métiers que nous venons d’évoquer serait socialement criminel.
L’urgence se situe peut-être davantage, actuellement, dans la nécessité de rompre avec les âges-couperets qui obligent certaines personnes souhaitant encore travailler à cesser de le faire du jour au lendemain. Ces limites-là seront de plus en plus perçues, sans doute à juste titre, comme des formes de discrimination.
Quoi qu’il en soit, si tous les retraités ne sont pas vieux, presque toutes les vieilles personnes sont à la retraite. Ce qui ne signifie pas qu’elles aient cessé toute activité (bénévole, familiale), ce qui ne signifie pas non plus que la vieillesse contraigne à la retraite : dans de nombreux métiers où les personnes peuvent travailler jusqu’au moment où elles le souhaitent, il n’est pas rare de voir des vieilles personnes continuer leur activité professionnelle (artistes, politiques, professions libérales, etc.). Ce qui n’est pas sans lien avec la manière dont elles sont perçues : tant qu’elles travaillent, ces vieilles personnes, souvent, ne sont pas considérées comme de vieilles personnes.
Des critères sociaux de la vieillesse ?
Plus globalement, le « sentiment d’être vieux » est souvent fortement influencé par le sentiment d’utilité sociale. Lequel est associé à l’activité rémunérée – mais pas seulement : ce sont aussi les activités bénévoles, les activités intra-familiales (aide aux enfants pour les petits-enfants, par exemple ; aide aux parents âgées atteints de maladies ou de handicaps), toutes les formes d’entr’aide… Du coup, ce sentiment d’utilité sociale peut être altéré par le passage à la retraite, mais également par le passage de la place de grand-parent à celle d’arrière-grand-parent, par la fin de la participation active à la vie d’une association (certaines associations sont aussi âgistes que certaines entreprises et considèrent négativement les retraités), par la mort d’un proche dont prenait soin, par le décès de voisins, etc.
Aux côtés du sentiment d’utilité sociale, on peut observer, sans chercher l’exhaustivité, certains éléments qui, socialement, familialement, participent au « sentiment d’être vieux » :
la situation d’arrière-grand-parent. La figure du grand-père ou de la grand-mère est de moins en moins liée à la vieillesse (la plupart des grands-parents le sont pour la première fois vers l’âge de 50 ans). Le fait d’être arrière-grand-parent, en revanche, est parfois vécu comme un « signe de vieillesse ». Moins pour une question d’âge que de position et de rôle dans la famille : la place auprès des jeunes enfants est souvent « occupée » par les « jeunes » grands-parents, reléguant ainsi les arrière-grands-parents…
le veuvage. S’il ne peut lui non plus être totalement associé à la vieillesse (plus de 40% des femmes sont veuves avant 74 ans), il n’en reste pas moins qu’il participe souvent au sentiment d’être vieux…
la perte d’être proches, de frères et sœurs, d’ami(e)s de la même génération. À partir d’âges avancés (au-delà de 90 ans), plus nous avançons en âge, plus nous devenons des survivants…
le fait d’être orphelin de ses deux parents est un élément important . Moins pour une question d’âge (beaucoup de personnes qui perdent leur mère autour de l’âge de 65-70 ans ne se sentent pas « vieilles ») que pour le « mouvement générationnel ». Même s’il peut y avoir deux générations de « personnes âgées » dans une même famille, nous avons souvent le sentiment de n’être pas vieux tant que nos parents sont encore en vie : ils nous précèdent dans la vieillesse, ils nous protègent de la mort.
Âgisme et vieillesse
La manière dont une société conçoit le vieillissement et la vieillesse, les figures d’homme et de femme qu’elle (se) donne en modèle à imiter, influent quotidiennement, consciemment ou non, sur le vécu de notre vieillissement. Qu’en est-il de cette influence dans une société où, brièvement :
le vieillissement est très souvent dépeint au mieux comme une maladie, au pire comme un échec, toujours comme une catastrophe ;
la vieillesse est censée commencer dès les première rides à traiter d’un « produit anti-âge », dès les premiers signes à traiter avec une « médecine anti-âge », soit dès la trentaine à en croire Rajeunir Magazine, « un féminin bimestriel destiné aux plus de 30 ans qui cherchent à conserver leur capital jeunesse via la chirurgie esthétique, les cosmétiques, la relaxation et même la sexualité » ;
cette incitation permanente à « paraître jeune », « rester jeune », « faire jeune », « être jeune dans sa tête » conduit à rejeter dans les limbes de la vieillesse honteuse celles et ceux qui assument ou ne peuvent cacher les « stigmates » de l’âge ;
la quarantaine vous fait souvent percevoir, au sein du monde du travail, comme un « vieux », aussitôt suspecté d’être moins savant et performant ;
passé un certain âge, les gens de votre génération disparaissent des publicités, des pages des magazines, de la télévision. Où, sauf exceptions caricaturales (publicité pour un contrat obsèques ; visite d’un ministre dans un EHPAD…), plus d’images publiques des vieilles personnes ;
où la sexualité des vieilles personnes est à peine abordée, voire parfois interdite ;
où n’apparaissent, dans une majorité de médias, que deux figures : le senior puis le « vieux dépendant ». Le senior, qui consomme et fait jeune, qui reçoit dans sa boîte aux lettres des incitations aux voyages aventureux, aux grands vins, aux chaussures de sport et aux écrans plats. Puis, soudain, la « personne âgée », forcément dépendante et coûteuse, qui reçoit des publicités pour des assurances dépendances, des baignoires à porte et des monte-escaliers…
où lorsqu’une vieille personne non « dépendante » et active apparaît dans les médias, elle est alors décrite, non comme une vieille personne, mais comme une personne encore jeune ! Bref, quand un vieux n’est pas à l’image de sa caricature âgiste, c’est qu’en fait il ne s’agit pas d’un vieux !
où il devient exceptionnel, quand on est vieux, de n’être pas de temps en temps insulté sous des formes diverses et variées (du « Allez le vioque ! » au « Avance mémé ! ») stigmatisant l’âge ;
où les situations de maladies et de handicaps, quand elles surviennent dans la vieillesse (on les appelle alors la « dépendance »), sont souvent présentées comme atteignant à la dignité de la personne. Comme si vieillir avec une maladie ou un handicap était vieillir indigne ;
où cette fameuse dépendance est présentée comme un poids : poids pour l’individu, poids pour ses proches, poids pour la collectivité. Poids économique et social.
Autant de signes modernes d’âgisme auxquels il faudrait ajouter les variations persistantes de l’âgisme traditionnel, qui dépeignent les vieilles personnes comme forcément réactionnaires, conservatrices, rigides, radines, égoïstes, pénibles, etc.
Qu’en est-il de vieillir dans une société âgiste, qui ne cesse de pointer le vieillissement et la vieillesse comme des échecs ?
Qu’en est-il du coup de vivre des phases entières de son développement, de son vieillissement, en luttant contre ou en le niant ? « À partir de 60 ans, l’essentiel est de rajeunir tous les jours » écrit Quentin Blake, le célèbre dessinateur, dans la préface de Vive nos vieux jours !, qu’il vient de publier chez Gallimard. Et de montrer ensuite, dessin après dessin, des grands adolescents, des post-soixante-huitards aux cheveux à peine blanchis, aussi sautillants qu’hilares, aussi peu vieux que pas vraiment jeunes. Singeant la jeunesse avec une fausse pétillance. Pathétiques, et pathétiquement symptomatiques.
Qu’en est-il d’avoir intégré les stéréotypes âgistes au point de ne plus pouvoir se revendiquer qu’en niant son âge – « Vous savez, dans ma tête, je suis toujours jeune ! » ?
Qu’en est-il de passer sa vie à penser que son avenir, sa vieillesse, sera forcément malade et handicapée ? Qu’en est-il de penser que cette vieillesse malade sera forcément indigne ?
Nous n’avons pas encore mesuré la profondeur des dégâts, sociaux et psychiques en particulier, que provoque pour des individus la certitude que leur vie(illesse) ne peut qu’être un déclin progressif et que les vieux citoyens grèvent les conditions d’existence des autres. En attendant, nous ne pouvons que constater ce sentiment de culpabilité de vivre dont nous parlent ces vieilles personnes qui disent : « Je préfère mourir que d’être une charge. » Belle preuve de civilisation que de provoquer chez certains citoyens le désir de mourir pour soulager les autres !
Environnement, isolement, solitude
Entre aspects sociaux et aspects psychiques, d’autres éléments participent au sentiment d’être vieux :
le rythme de l’environnement dans lequel on vit. Certaines personnes se sentent plus « vieilles » dans un environnement urbain, avec une circulation rapide des personnes et des véhicules, que dans un environnement plus calme ;
les sollicitations de l’environnement : à l’inverse, certaines personnes se sentiront plus facilement « vieilles », parce qu’elles associent cela à l’ennui, dans un environnement peu sollicitant que dans un environnement où elles peuvent multiplier certaines activités (cinéma, conférences, etc.).
La vieillesse est-elle, comme on l’a parfois pensé, associé à un repli volontaire sur la sphère privée, intime ? Il est extrêmement difficile de le prétendre tant il est difficile de faire la part des choses entre un désengagement volontaire et de moindres sollicitations familiales et/ou amicales, des maladies ou handicaps rendant plus difficiles certains déplacements, des environnements inadaptés et donc dangereux. Les personnes qui s’enferment chez elles et ne sortent plus le font souvent parce que l’inadaptation de l’environnement rend toute sortie impossible ou dangereuse – ou juste non-motivante.
Pour autant, il existe des formes de solitude, sans doute mi-subies mi-acceptées, qui peuvent naître d’une sorte de décalage entre soi et la société environnante, décalage qui n’est pas toujours dû à l’inadaptation de ladite société. Le sentiment d’être « d’un autre temps », d’être « étranger à l’époque » n’est pas toujours « de la faute » de l’époque ! Lorsque, comme l’écrivait Lamartine, merveilleusement chanté par Brassens, « quand je dis en moi-même : “où sont ceux que ton cœur aime ?”, je regarde le gazon », lorsque les références culturelles, l’utilisation de la langue, les souvenirs, les loisirs, ne sont plus partageables aisément, on peut préférer rester avec son chat, ses livres ou sa mémoire…
La question psychique de la vieillesse
On aborde désormais la question du « vieillissement psychique » ou plutôt, pour s’exprimer précisément, la question psychique de la vieillesse : qu’est-ce qui nous fait nous sentir vieux ?
Nous allons retrouver bien entendu tous les éléments déjà évoqués (l’âge, le regard des autres, le statut social, la place dans la famille, etc.), que chaque personne va considérer différemment, selon sa personnalité, ses convictions, son histoire. Au poids que chacun va accorder à chacun de ces aspects extérieurs vont s’ajouter d’autres facteurs, plus intérieurs, plus intimes, qui vont modeler les premiers et l’ensemble du sentiment d’être vieux. Évoquons-en rapidement quelques uns :
la conception que l’on se fait du vieillissement et de la vieillesse et le sentiment de son vieillissement et de sa vieillesse : la manière dont on conçoit la vieillesse, théoriquement, influe sur la manière dont on la vit… et réciproquement. Prenons Michel Serres, qui écrit : « Vieillir est le contraire de ce que l’on croit. Au moment où l’on n’a pas encore fait ses choix, on est alourdi par le poids de la tradition et des vérités enseignées. On croit aux idées répandues dans les journaux, à celles qui courent les rues. On adhère à tout. On porte le poids de sa famille, de sa tradition, de son groupe, de la société. » Est-il étonnant qu’il confie : « J’ai, pour ce qui me concerne, vécu l’avancée en âge comme un détachement de tous ces poids-là. Vieillir c’est rejeter les idées préconçues, être plus léger . » Oui, il est possible de se réjouir d’être plus autonome, de mieux penser, d’être sensible à plus de choses, de mieux comprendre les autres à 85 ans qu’à 25… Mais encore faut-il pour cela, comme le rappelait Simone de Beauvoir, que notre environnement et les contraintes sociales nous aient permis de faire de notre grandir-vieillir cette progressive libération…
La vieillesse, souvent, nous éprouve, dans les deux sens du terme : elle nous frappe autant qu’elle nous révèle et peut nous grandir selon ce que nous en faisons. Il y a dans beaucoup de vieillesses une quantité considérable de petites défaites et de petites victoires, de micro-traumatismes et de micro-résiliences…
la relation avec son corps : corps parfois malade, parfois handicapé, corps toujours plus lent, plus fragile. Une fragilité qui ne se vit pas uniquement sur un mode négatif. Lorsque la douleur n’est pas démoralisante, la fragilité du corps s’apparente parfois à une forme de densité. « Ce corps que je ressens fragile, auquel je suis donc plus attentif, je le perçois et l’habite plus fortement qu’autrefois. » L’évitement de la douleur, la lenteur, l’attention aux gestes, peuvent constituer une source de plaisir.
Quoi qu’il en soit, un corps qu’on pense… alors que le corps en parfaite santé où « les organes sont silencieux » est un corps agi plus que pensé. Alors, comme le décrivait Montaigne, la vieillesse est-elle l’âge où l’âme peut enfin « épouser le corps » ?
La relation avec son passé : il existe un temps qui peut être celui du regard vers l’arrière, celui du bilan, celui de la réparation de certaines failles. Mais attention : évitons toute généralité – on peut ne pas éprouver ce besoin de bilan – comme tout diktat – il n’y a pas un « travail du vieillir » qui serait identique pour tous !
Il semble qu’une certaine pensée de la mort, dans une société où celle-ci intervient plus fréquemment à des âges avancés, soit donc désormais l’apanage de la vieillesse. Prudence là aussi : on peut, jeune, penser à la mort, comme on peut, la veille de son décès, préférer n’y pas penser. Ne demandons pas aux vieilles personnes de se coltiner seules tout ce que les plus jeunes ne veulent pas voir ou penser…
Plus globalement, il faut souligner la présence de certaines formes de spiritualité, de préoccupations religieuses ou à tonalité religieuse, tout en restant, une fois de plus, très prudents : et parce que la spiritualité n’est pas réservée à la vieillesse, et parce qu’il n’y a pas d’obligation de se spiritualiser pour bien vivre sa vieillesse.
Le ressenti de notre capacité d’adaptation : notre faculté d’adaptation ne diminue pas durant la vieillesse. On a pu le croire jadis en constatant que certaines personnes âgées étaient dépassées… mais sans regarder qu’elles l’étaient moins à cause d’une diminution de cette faculté qu’à cause d’un accroissement des changements auxquelles elles étaient confrontés. Il n’était pas rare, il est encore possible, qu’en quelques années, une personne se retrouve à cesser son activité professionnelle, à perdre son conjoint, à déménager, à soigner puis perdre ses parents, à devenir arrière-grand-mère, à être atteinte d’une maladie ou d’un handicap plus ou moins invalidant… À cause de l’importance des changements, d’une grande fragilité, d’un environnement hostile, etc., notre capacité d’adaptation peut être dépassée : cette sensation qu’on ne parvient plus à faire face, que les choses nous débordent, peut participer au sentiment, négatif, d’être « très vieux ».
Comme un mobile…
Il n’y a pas d’âge de la vieillesse . Il n’y a pas de définition chronologique de la vieillesse, mais une perception subjective de sa vieillesse. Un « sentiment d’être vieux » que chacun d’entre nous ressent en fonction de l’équilibre d’ensemble qui se fait et se modifie en permanence, comme celui d’un mobile, à partir de tous les facteurs que nous avons évoqués (facteurs chronologiques, sociaux, familiaux, culturels, physiologiques, psychologiques…). Un équilibre individuel qui, comme celui d’un mobile, n’est possible, rappelons-le, que si l’environnement ne crée pas en permanence des perturbations telles que le mobile ne parvient plus à s’équilibrer.
Il est des environnements, matériels, sociaux, familiaux, qui provoquent des phobies du vieillissement, autrement dit des phobies, pathogènes, de son propre devenir. Il est des environnements qui contraignent les vieilles personnes à se conformer aux stéréotypes, à se rendre transparentes, voire à s’exclure psychiquement ou physiquement du monde.
Il est des sociétés qui ne favorisent pas la réflexion sur la vieillesse, sur cette période de la vie forcément différente des périodes précédentes, avec un rapport au temps, au corps, aux autres spécifique, avec une manière particulière d’utiliser ses facultés psychiques, etc. Comment y réfléchir sereinement quand tant de vieilles personnes cachent leur vieillesse, cachent leurs émotions par peur d’être accusées de « sensiblerie sénile », leurs convictions par peur d’être traitées de « vieux cons », leurs valeurs par peur d’être exclues de la famille, etc. ?
Nous ne pourrons réellement comprendre ce qu’est la vieillesse que lorsqu’elle pourra être vécue librement, sans crainte d’exclusion ou de stigmatisation, par la majorité des vieilles personnes.
Actuellement, nous devons tant nous battre pour que les droits des « personnes âgées » soient aussi respectés que les droits des autres citoyens… que nous hésitons à mener le combat à l’essentiel : la reconnaissance qu’une vieille personne est… une vieille personne. Et qu’autant qu’un enfant est spécifiquement différent d’un adulte (ce n’est pas un adulte moins 30 ans, ou un adulte moins telle ou telle faculté), une vieille personne est spécifiquement différente d’un adulte (ce n’est pas un adulte plus 30 ans, ou un adulte moins telle ou telle faculté). Et peut nous parler, en experte de sa vieillesse, de son sentiment d’être vieux. Librement. Comme Ulysse, après un beau voyage…
J. Pellissier – Age de la vieillesse – Article publié en 2012.
Bibliographie minimaliste :
- ARGOUD Dominique & PUIJALON Bernadette, La Parole des vieux : enjeux, analyses, pratiques. Dunod, 1989.
- BEAUVOIR (DE) Simone, La Vieillesse. Gallimard, 1970.
- BOURDELAIS Patrice, L’Âge de la vieillesse : histoire du vieillissement de la population. Nouvelle édition. Odile Jacob, 1997.
- ENNUYER Bernard, “A quel âge est-on vieux ?”, Gérontologie et société, 34, 2011.
- HENRARD Jean-Claude, Les Défis du vieillissement. La Découverte, 2002.
- MAISONDIEU Jean, La Fabrique des exclus. Bayard, 1997.
- PELLISSIER J., La guerre des âges. Armand Colin, 2007.
- PELLISSIER J., Le temps ne fait rien à l’affaire. Editions de l’Aube, 2012.
- PLOTON Louis, La Personne âgée : son accompagnement médical et psychologique et la question de la démence. Lyon : Chronique sociale, 1990.
- PUIJALON Bernadette & TRINCAZ Jacqueline, Le Droit de vieillir. Fayard, 2000.
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